Fruiticulture, mon amour !
La meilleure façon d’affronter un problème ? Le fuir, nan ? ... je vous ai parlé de ce cours de « fertilité des sols » : celui avec des devoirs de fou et un prof qui parle tellement vite qu’il est impossible de noter quoi que ce soit ? Eh ben, ce cours là, je l’ai gentiment écarté de mon programme aujourd’hui ! A la place : Olericultura, soit l’étude de la carotte, de la salade, du brocoli et de l’oignon de la production jusqu’à la commercialisation... hey, pourquoi pas après tout ?!?
Donc, je récapitule : trois jours de cours : fruiticulture, maraîchage (avec les 4ème années) et économie rurale, développement rural et planification rurale (avec les 5ème années).
Aujourd’hui, c’était planification le matin et fruiticulture l’aprèm. Ma voisine a son enfant sur les genoux. Un « meninho » de 9 mois qui remue pas mal, mais qu’elle fini par calmer en lui donnant le sein. Repas, puis un super cours de fruiticulture ! Je l’attendais tellement celui-là... Et mes espoirs ne sont pas déçus : la prof est géniale, je comprends tout ce qu’elle dit et le programme d’enfer... fruits tropicaux et sub-tropicaux (généralités – puis étude approfondie de la culture de la banane, de l’ananas, du fruit de la passion = maracuja et du citron) !